Le 1er avril, afin de limiter encore davantage la propagation du Covid-19, les ministres des Transports et de la Ville et du Logement ont annoncé que les déménagements étaient à ce jour proscrits et ce, jusqu’à la fin de période de confinement.
A l’annonce du confinement, une première réponse du gouvernement avait été faite au sujet des déménagements autorisés seulement en respectant certaines conditions, comme notamment la distanciation sociale et le port de masque et gants. Il fallait également se munir, comme pour tous déplacements, d’une attestation avec les horaires de départ et d’arrivée d’un logement à l’autre. Des mesures relativement contraignantes pour les professionnels du déménagement ainsi que les particuliers eux-mêmes. Plus de 90% des sociétés de déménagement avaient déjà cessé leur activité, passant à la signature de devis par visioconférence pour préparer l’après-confinement.
A compter du 1er avril, l’ensemble des professionnels de déménagement doivent cesser leur activité pour protéger la population face au taux particulièrement élevé de la propagation du virus. Les particuliers non plus ne pourront pas espérer déménager pendant la période de confinement, sauf cas exceptionnel ou situation d’urgence. Cette mesure vise à ralentir voire endiguer la propagation du virus Covid-19 sur le territoire et protéger la population.
De plus, la trêve hivernale, visant à interdire l’expulsion locative pendant les périodes hivernales, a été prolongé jusqu’au 31 mai bien que nous ne soyons plus en hiver.
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